Histoire de la spiritualité chevaleresque
Histoire et actualité
de la
Spiritualité chevaleresque
Par l’Abbé Bernard Pellabeuf
Préface du Général Henri Roure
Editions Dominique Martin Morin
Disponible sur les sites de la FNAC, de La Procure, de certaines librairies Siloë.
14 euros
Présentation
Puisant aux plus profondes racines des civilisations indo-européenne, grecque, romaine, celtique, et germanique, façonnée par le combat à cheval, le code d’honneur et le rite de l’adoubement, la chevalerie est à la fois une institution et un esprit. Elle a pu prendre des visages très divers au fil des époques où elle s’est élaborée puis développée, ce qui permet de dégager les traits essentiels de sa spiritualité. Identifié au Christ cavalier combattant la Bête de l’Apocalypse, et surtout au Christ mourant sur la croix, le chevalier chrétien suivant son code ressemble à un religieux suivant les conseils évangéliques.
Après un recul dans les mentalités de la fin du Moyen-Âge à l’époque classique, l’idée de la chevalerie a retrouvé une certaine actualité après la Révolution Française. Comme en l’An Mil, l’Eglise du troisième millénaire a sans doute intérêt à mettre cette institution et cet esprit au service de l’établissement de la civilisation de l’amour.
L’auteur est prêtre catholique, a été chef de section de combat en Allemagne et adoubé en 1973. Il est titulaire d’une licence canonique en philosophie et d’un baccalauréat canonique en théologie. Ordonné en 1978 à Besançon, il a été deux fois missionnaire enseignant les lettres classiques dans des petits séminaires en Afrique Noire et quinze ans aumônier militaire, puis huit ans aumônier de la maison-mère des Servantes des Pauvres à Angers, où il a été finalement incardiné. Après quelques ennuis de santé, il s’est retiré dans un béguinage.
Extrait de la préface du Général Henri Roure
Cette puissante démonstration a inévitablement amené l’abbé Bernard Pellabeuf à aborder les questions contemporaines. Il le fait avec élégance et tact. Ainsi il explique la complémentarité de l’homme et de la femme, chacun ayant depuis la Genèse, sa mission propre. L’égalité, en dehors d’une égalité citoyenne, n’a aucun sens. Le terme est inadéquat. L’homme est donc pleinement dans son rôle lorsqu’il combat pour sa famille, sa patrie et sa foi et la femme dans sa mission de génitrice et d’éducatrice.
La spiritualité chevaleresque pourrait se révéler, si nous lui redonnons toute sa dimension, le facteur déterminant à la sauvegarde de la France dans un monde où rode Satan.
Bibliographie (dans un autre article)
Voir aussi sur ce thème : Actualité de l'adoubement liturgique
Et aussi : dévotion mariale et chevalerie
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