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Humour et dictature

Le grand Soljenitsyne disait que la première forme de lutte contre la dictature, c’est de dire la vérité. Mais les peuples le font naturellement par l’humour.

 

C’est ainsi qu’en Union Soviétique, un Commissaire du Peuple est arrivé dans un kolkhoze :

- Alors, moujik, formidable, n’est-ce pas, la récolte de pommes de terre cette année avec le Nème plan ?

- Oh oui, Monsieur le Camarade Commissaire, formidable ! Je crois même que si on les mettait toutes en tas, elles iraient jusqu’aux pieds du Bon Dieu !

- Comment, moujik, tu ne sais pas qu’il n’y a pas de Bon Dieu ?

- Ah ben si ! Mais y a pas non plus de pommes de terre !

 

 

Vers 1960, on disait que le président de l’Union Soviétique avait reçu le prix Nobel d’Agriculture : en effet il semait en Ukraine et récoltait en Australie et au Canada.

 

 

Il faut reconnaître que dans la gestion de la présente épidémie, tout n’est pas négatif. Il y a même des choses très logiques. Le meilleur exemple est qu’on a déclaré que les chaussures ne sont pas des produits essentiels : c’est très logique.

En effet nos dirigeants n’ont pas les pieds sur terre et marchent sur la tête.

 

 

- Comment qualifieriez-vous l’action du gouvernement ?

- Sonneries et Cornettes !

 

 

On ne dit plus "un vocabulaire ordurier".

On dit maintenant "un vocabulaire présidentiel".

Quelle classe la république !

 

 

Autrefois il y avait des cours d'histoire et on enseignait aux enfants que les rois de France concluaient leurs décisions par l'expression "Car tel est notre bon plaisir", et on faisait comprendre que c'était très mal, sans tenir compte du fait que les mots n'avaient pas le même sens qu'à présent.

Aujourd'hui on apprend que le faisant fonction de président de ce qui fut une république dit "J'ai bien envie d'emm..." et on veut nous faire comprendre que c'est pour notre bien, alors que les mots ont leur sens ... d'aujourd'hui !

 

 

Savez-vous qu’il existe des extrémistes modérés ?

Ce n’est pas possible, direz-vous, c’est une contradiction dans les termes !

Eh bien détrompez-vous. Avant l’élection de Monsieur Erdogan, des journalistes en mal de sensation ont avoué que son parti était un parti islamiste.

Or vous le savez, les islamistes sont des musulmans extrémistes.

Mais quand Monsieur Erdogan a été élu, il fallait rassurer les bonnes gens, qui se seraient inquiétés par exemple de l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne ou des Turcs en France. Alors on a expliqué que ces islamistes-là étaient des islamistes modérés.

Vous voyez bien qu’il existe des extrémistes modérés !

 

 

Quand on voit Monsieur Erdogan, on pense « islamiste ».

Quand on voit Monsieur Macron, on pense « islapète ».

(Vous savez que le blasphème est permis, selon ce dernier…)

 

 

Dupont Moretti (peut-être ne le savez-vous pas, c’est le ministre de la justice) a déclaré qu’il était hors de question de vacciner les prisonniers : ce ne sont pas des cobayes, argumentait-il. Moralité : les vaccinés précéderont les prisonniers dans le royaume des Cieux.

 

 

On ne dit plus « covid », parce qu’on ne sait jamais si c’est le genre « le » ou le genre « la » ; alors on dit « macronite », parce que là on sait tout de suite que cela a mauvais genre.

 

 

Tension entre le Vatican et la République française !

Le gouvernement français est partisan de la théorie du "gender".

      C'est pour cela qu'il impose le port du masque.

Le Pape a un poumon en moins.

      Il ne supporte pas le "gender".

 

 

Sermon du Curé Malgré Lui.

(Extrait de la pièce « Le Curé malgré lui », de Hieronimo Liair.)

- Nous pratiquons l’exégèse d’une façon toute nouvelle !

Vous croyez peut-être que Jésus a dit : « J’avais soif et vous m’avez donné à boire, j’avais faim et vous m’avez donné à manger, j’étais un étranger et vous m’avez accueilli… »

Eh bien détrompez-vous : l’exégèse moderne nous a permis de constater que ce texte a été amputé. En réalité, Notre Seigneur a dit : « J’avais soif et vous m’avez donné à boire avec l’argent des autres, j’avais faim et vous m’avez donné à manger avec l’argent des autres, j’étais un étranger et vous m’avez accueilli avec l’argent des autres… »

Cela nous fait comprendre qu’un chrétien ne peut être que socialiste. Car comme le disait le bienheureux Jacques Faizant, le socialisme ça consiste à prendre aux productifs ce qu’on les décourage de gagner pour distribuer aux improductifs ce qu’on les encourage à réclamer.

 

 

C’est vraiment dommage que Ponce Pilate n’ait pas été un saint prêtre. En effet, comme c’était un Italien, on aurait pu canoniser le Padre Ponce, qui est un procédé très ecclésiastique.

 

 

La technocratie combine les caractéristiques du socialisme et du libéralisme.

Pour les socialistes, c'est "qui paye commande" - même s'ils oublient généralement que c'est avec l'argent du peuple qu'ils payent, et qu'ils feraient bien de le laisser commander...)

Pour les libéraux, c'est "qui casse paye".

Pour les technocrates, c'est "qui casse commande".

 

 

Changement climatique

Il y a cinquante ans on disait que les essais nucléaires américains détraquaient le climat, et jamais les essais russes.

Les temps ont bien changé !

 

 

Et puisqu’il est question de rire pour se détendre de l’oppression, rions même de ce qui n’a pas de rapport avec celle-ci.

 

Savez-vous ce que Dieu dit au missionnaire ?

Bon, à Abraham, Il dit « Quitte ton pays ».

A la reine Esther, Il dit « Oublie ton peuple et la maison de ton père ».

Au missionnaire il dit « Oublie la cuisine de ta mère ».

 

 

Pourquoi est-il dangereux de traverser en Suisse ?

Oh, ce n’est pas qu’ils roulent vite, c’est qu’ils freinent lentement !

 

 

Pourquoi dit-on « rond comme une galette bretonne » ?

Mais simplement parce qu’elles sont complètement beurrées !



30/08/2021
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